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L'arbre, comme une ode à un autre monde de perceptions, dans la grâce du déploiement souverain de son arborescence archétypale, à l'heure où nous nous noyons dans nous-mêmes, pourrait être l'invitation silencieuse à faire taire notre égo et tout son attirail d'échelles de valeur. Cette cathédrale végétale pourrait être une chance à saisir de batifoler avec l'incommensurable. En mettant l'humain hors champ, cette série sur les arbres est un cri d'appel à une (re)connexion au souffle vital pour que respirent ensemble toutes les incarnations du vivant.
Je lève la tête. L'arbre que j'abats. Comme il est calme. (Haïku d'Issekiro)
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